À LA CROISÉE DU GESTE ET DU PLAISIR
Il y a deux ans, Éléonore n’avait jamais entendu parler du pickleball.
C’est lors d’un voyage en Californie, dans un club discret de Palm Springs, que des amis lui proposent d’essayer.
Elle observe : des couples élégants qui échangent avec style, des femmes qui rient, des hommes concentrés mais détendus.
Une ambiance presque cinématographique.
Par curiosité, elle emprunte une raquette. Quelques échanges suffisent : le geste vient naturellement, le plaisir est immédiat.
Ce sport a quelque chose de rare.
Il est à la fois accessible, élégant, et permet de s’exprimer autrement.
RIEN À SON IMAGE, ALORS ELLE L’A FAIT
De retour à Paris, Éléonore tente de retrouver ce qu’elle a ressenti là-bas.
Mais partout, les mêmes raquettes criardes, les mêmes discours sur la puissance, la performance, la gagne.
Alors elle décide de créer ce qui lui manque.
Avec son œil de designer et son goût du détail, elle imagine Pickadel : une marque pour celles et ceux qui veulent jouer autrement.
UNE NOUVELLE FAÇON D’ÊTRE ENSEMBLE
Aujourd’hui, Éléonore reçoit des messages de femmes et d’hommes qui pensaient ne plus aimer le sport, ou qui cherchaient un nouveau souffle dans leur routine.
Des couples, des amis, des inconnus qui redécouvrent le plaisir de jouer ensemble, avec légèreté, mais sans renoncer à ce qui les définit.
C’est ça, Pickadel. Une raquette, oui. Mais surtout, un mouvement.